Si le XXe sie’cle francais a connu dans le domaine de la nouvelle une ve’ritable re’volution, c’est peut etre devancier, lr XIXe sie’cle apparait comme un temps d’e’panouissement de l’ensemble des formes litte’rature proprement dite du XIXe sie’cle est une re’ve’lation d’une forme d’art, libe’re’e des normes et des contraintes classiques.Lorsqu’on aborde le domaine de la nouvelle a’ cette pe’riode, il faut voir pre’sent a’ l’esprit que ce genre litte’raire ”pre’sente une extraordinaire varie’te’ qui exclut toute conformite’ a’ un mode’le pre’cis..La nouvelle est l’un des disvertissements les plus recherche’s qui font le charme de la vie francaise: la nouvelle peut fournir au cine’ma, au the’atre et a’ la te’evision la matie’re d’un sce’naio.La nouvelle participe a’ cette pe’riode par une e’closion de pie’ces que le public francais a tout loisir de voir, d’appre’cier. Leur repre’sentation devient l’un des sujets passionnants de ses conversations.” La te’le’vision et le cine’ma offrent a’ la nouvelle une large audience...DE nombreuses nouvelles,...ont e’te’ porte’s a’ la connaissance du grand public par des adoptations cine’matographiques. Citons, a’ titre dexemples:L’ami retrouve’, de j. schatzberg, d’apre’s fred Uhlman (Folio), Le Festin de Babette, de G. Axel, d’apre’s Karen Blixen(Folio), L’accompagnatrice, de C. Miller, d’apre’s Nina Be’rberova.